Coupe du Monde : Lloris "Jamais prêts pour un virus"
Retrouvez les moments importants de la conférence d'Hugo Lloris avant la finale de dimanche.
Ce samedi matin, Hugo Lloris était en conférence de presse. Le capitaine des Bleus était interrogé sur la finale que va jouer l'équipe de France contre l'Argentine ce dimanche à 16h00. Il a notamment répondu à des questions sur le virus, Lionel Messi et le style de jeu argentin.
"Pas plus de nouvelles qu'hier soir"
À propos du virus qui touche les Bleus, Hugo Lloris a été plutôt évasif mais a tout de même avoué qu'une équipe ne peut être préparé à ce genre d'événements.
,"Je n'ai pas plus de nouvelles qu'hier soir. Vous aurez certainement plus d'infos d'ici le prochain entraînement. Le virus, on n'est jamais préparés à ce genre de choses. On essaie de se préparer de la meilleure des façons, tout simplement. Ce sont des aléas auxquels on n'était pas forcément préparés, mais ça n'enlève rien à l'excitation qu'on peut avoir".,
"Il y aura beaucoup d'attente pour les Argentins"
Le portier de Tottenham a aussi évoqué l'Argentine, prochain adversaire des Bleus et son style de jeu.
,"C'est une équipe très bien organisée, très forte défensivement, agressive sur le porteur. Elle joue très bien dans les transitions offensives, sur les erreurs de l'adversaire. Dans l'histoire de l'Argentine, il y a toujours eu de très grands joueurs. Il y a eu Maradona, aujourd'hui Messi. Il y aura beaucoup d'attente par rapport à cette finale du côté argentin. Maintenant, je crois lorsqu'on est Français, jouer une finale de Coupe du monde, quel que soit l'adversaire, c'est un grand événement. Rencontrer l'Argentine à ce stade, ça rend les choses encore plus belles. On espère que ce match restera dans les annales du côté français". ,
"Il faut faire attention à Messi"
Le champion du monde 2018 a aussi évoqué le cas Lionel Messi. Il a tout de même avancé que l'Argentine ne se résumait pas qu'à lui.
,"L'événement est trop important pour se concentrer sur un seul joueur. C'est une finale entre deux grandes nations. Quand vous faites face à ce genre de joueur (Messi), il faut faire attention à lui, mais ce match, ce n'est pas que lui". ,